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Réflexion

Retour de la pensée sur elle-même dans le but d'examiner plus en profondeur une idée, une situation ou un problème.

La doctrine nucléaire sous Reagan

Le sous-secrétaire adjoint aux affaires nucléaires, T.K. Jones, a affirmé en 1981 :

« Les États-Unis pourraient se remettre d’une guerre nucléaire totale avec l’URSS en 2 ou 3 ans… La guerre nucléaire n’est pas aussi dévastatrice qu’on nous l’a fait croire. En fait, s’il y a assez de pelles, tout le monde s’en sortira. Il suffit de creuser un trou dans le sol, de le recouvrir d’une porte et de mettre deux ou trois pieds de terre par dessus. C’est là la clé du succès. »





Lorsqu’on lui a posé la question, le directeur de l’Arms Control Agency, Eugene Rostow a dit en 1981:

« La race humaine est très résistante. Certains prévoient qu’une guerre nucléaire limitée causerait la mort de 10 millions de personnes d’un côté et de 100 millions de l’autre. Mais ce n’est pas là la totalité de la population. »

« Le public pense que la guerre nucléaire signifierait la fin du monde alors qu’en fait, il n’y aurait que 500 millions de morts. »
Un capitaine de la marine américaine en 1982






Un des principaux conseillers du président Reagan en ce qui concerne l’URSS, Richard Pipes (professeur à Harvard) a affirmé, quant à lui en 1981:

« Il n’y a pas d’alternative à la guerre avec l’URSS si les Russes n'abandonnent pas le communisme. »

« En ce moment, la probabilité d’une guerre nucléaire avec l’URSS est de 40 % et notre stratégie est de gagner une telle guerre. »
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